Contexte
L'obligation de publication d'un rapport ESG par les entreprises de plus de 500 salariés constitue un élément clé du référentiel de durabilité. La réforme Omnibus simplifie temporairement ce reporting, ouvrant ainsi une fenêtre de croissance pour les acteurs alternatifs aux Big Four.
Cependant, cette adaptation est transitoire. À l'horizon 2030, une CSRD « renforcée » exigera à nouveau des compétences techniques pointues et une infrastructure IT robuste. Les cabinets d'audit et de conseil en durabilité doivent donc se positionner stratégiquement pour répondre aux besoins évoluants du marché.
Objectif principal
Nous proposons un diagnostic approfondi de l'impact de la directive CSRD et des scénarios d'évolution réglementaire sur le marché du reporting extra-financier. Notre étude identifie les leviers d'attractivité, les risques et les stratégies gagnantes pour construire une offre crédible, lisible et adaptée à la diversité des clients.
Méthodologie
* Nos prévisions sur le marché selon trois scénarios d'évolution réglementaire
* Des chiffres exclusifs sur le marché du reporting extra-financier (ou ESG : environnemental, social et gouvernance) et ses perspectives d'ici 2030
Portée
Notre analyse s'intéresse spécifiquement au marché du reporting extra-financier en France et en Europe. Nous examinons les forces en présence, les stratégies de croissance et les incertitudes entourant la directive CSRD et le paquet Omnibus.